Collection Le Marin. Maître DHôtel De LAmiral À Tahiti (3/4)
Je mappelle Christian, jai été affecté à Tahiti, plus précisément à larsenal de Papeete pour moccuper du remorqueur de cette île paradisiaque.
Grâce à mon tonton qui ma pistonné, jai pu être nommé à Tahiti dans cette planque. À part lentretien comme mécanicien de ce que nous appelons cette petite abeille, la sieste et la flème sont mes lots quotidiens.
Hugo, le second-maître mécano que jai remplacé étant de retour en France auprès de sa femme de ses s avec en prime un dernier en devenir.
Deux ans quil était ici, madame la trompé, mais lui aussi et pendant les quelques jours où nous sommes restés ensemble, dès le premier soir, il ma démontré, lui aussi son infidélité.
Il entretient une liaison avec une fille de Papeete dune trentaine dannées et déjà fort décrépie par lexcès de bière quelle pratiquait avec lui, chaque jour.
Il a voulu me la refiler et me démontrer la facilité pour baiser à moindres frais.
Bourré moi-même, je bois rarement quatre à cinq bières, elle ma sucé avec sa bouche à moitié édentée, avec le risque de me massacrer la bite.
Il mavait demandé de largent pour aller au ravitaillement et elle en avait profité.
De retour, me voir me faire sucer a semblé lindifférer au contraire, il ma proposé de venir dans la pièce voisine pour satisfaire cette femme en doublette.
Un moment de lucidité me fait prendre la fuite avant de franchir lirréparable et de me retrouver dans deux ans dans la même situation quHugo, marin aviné.
Je suis jeune et rapidement mon sexe crie famine.
Je suis à deux doigts de craquer et retourner voir Tahia qui jen suis sûr si je lui amène, quelques bières mouvriront sa porte et sa bouche, jusquà sa chambre.
Par chance une enseigne lumineuse le « gogo bar » est sur mon chemin et je vais me vider la queue en échange de quels francs pacifiques.
Vanilla est une jeune femme indoue Tahitienne de plus en plus nombreuse à Papeete.
La communauté indouiste tenant principalement les commerces de robes et chemises à fleurs.
Contrairement au fille de lîle, elles ont une grâce et une beauté qui me font craquer.
Vanilla est une bonne professionnelle mignonne à souhait.
Je sais maintenant ou venir me vider les couilles une fois voire deux fois par mois.
En me promenant sur une plage de sable noir, à la sortie de Papeete, je rencontre Alain, maître dhôtel de lamiral responsable des îles du Pacifique.
La propriété donne directement sur la plage sans protection particulière comme nous pourrions en rencontrer en France.
Je veux garder des photos de mon séjour et le jardin parfaitement entretenu est couvert de buissons en fleurs, toutes plus belles les unes que les autres.
Cest à ce moment que je fais la connaissance dAlain mexpliquant où je suis.
Ayant sympathisé étant des pays comme nous disons dans la marine, parisiens tous les deux, ça fait trois fois que je viens.
Lamiral brille par son absence mais Carole sa femme, de 25 ans lui environ 60 est là et bien là.
Surtout ses seins quand elle vient les exposer sous notre nez venant se faire bronzer à quelques mètres de nous.
La pensée que je puisse la baiser meffleure à peine, mais nous vivons dans des mondes différents et je sais pertinemment que cette fleur bien de chez nous est hors de mes moyens.
Quoique, Alain en mal de confidences, commence à me raconter quil est devenu son amant quelques jours plus tôt.
Elle a glissé dans sa salle de bain alors quil se trouvait sur la terrasse devant sa chambre en tout bien tout honneur, il rangeait divers objets.
- Je lai prise sous ses aisselles, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus, je les ai eus dans mes mains.
Le carrelage était rendu glissant, elle est légère, mais lourde tout de même et nous avons glissé de nouveau, nous affalant tous les deux.
Sa main a accroché mon pont qui sest détaché lui livrant ma queue.
Qui a embrassé lautre, surement elle, je suis de nature timide et faire ce que jai fait, même en rêve lidée maurait semblé saugrenue.
La femme de mon chef, de mon commandant qui plus est un amiral.
- Fait moi croire que tu étais timide avec un tel canon dans tes bras.
Tu las sautée, sur le carrelage.
- Dans son lit, le carrelage, cest froid, mais cest elle qui ma entrainé.
- Comment est sa chatte ?
- Divine, son maillot cache de grandes lèvres que jai tout dabord eues sous ma langue avant quelle les écarte.
- Tu as trouvé son clito !
- Son clito, jignore de quoi tu parles !
Dans les années, que je veux éviter de préciser, inutile de dire à lamiral de la place de Papeete quil a été cocufié par son matelot maître dhôtel, nous étions plutôt ignares en ce qui concerne les filles.
Alain fait partie du lot, à 20 ans, je savais tout sur les femmes et le sexe alors que lui lorsquil a baisé Carole, il était certainement puceau.
Je lui donne un cours danatomie féminine à pratiquer sur sa belle, lors de leur prochaine rencontre.
- Il va falloir que lon se quitte, tu as entendu, madame, je dois lui servir le thé à 17 heures, je dois aller le préparer.
- Mais jy pense, on est copain, mais jai connu un pote aux apprentis mécanicien de Saint Mandrier qui se faisait un cinéma chaque fois quil rencontrait une chatte.
Prouve-moi que Carole est ta maîtresse.
- Cest loin dêtre sympa, tu doutes dun pays, mais je te comprends, cest tellement extraordinaire ce qui marrive.
Jai un peu peur dêtre découvert par lamiral et de me retrouver aux arrêts de rigueur.
- Quel con, tu vois lamiral venir te faire arrêter, sous-couvert que tu baises sa femme, que mettra-t-il sur ton livret militaire ?
« 30 jours pour mavoir faits cocu, exécution immédiate. »
- Il montrera à la face du monde, le vieux con quil est, à avoir voulu sauter une jeunette quil a été dans limpossibilité de satisfaire et qui sest rabattue sur ta jeune queue.
- Tu as raison, je vais essayer de te montrer que jai horreur des menteurs, suis-moi.
Nous nous déplaçons entre les buissons et nous arrivons à quelques mètres de la résidence.
Elle est là à quelques mètres de nous, nue sur un transat avec ses lunettes de soleil semblant dormir.
- Reste là sans te montrer, je vais te prouver que ce que je te dis est vrai.
Il me quitte et doit entrer par une porte qui mest cachée, car quelques minutes après je le vois ressortir de la maison un plateau à la main et savancer vers la belle.
- Carole, ton thé est servi.
- Tu mas fait peur, je métais assoupie.
Je peux presque partir, Carole, tu, ça sent la complicité mapportant la preuve que mon pote est un garçon qui est de parole.
Le geste quelle fait de lui défaire son pont pour en sortir sa queue, est tout aussi explicite et en plus quand elle se redresse pour le prendre en bouche.
Cest à ce moment quon me tape sur lépaule.
- Alors, on regarde ma belle-mère baiser avec son jeune valet, cest vilain de mater !
Je me retourne, que dire, Carole est superbe, mais lapparition que jai devant moi serait digne de concourir pour Miss France, pardon au moins Miss Tahiti.
Casque colonial, blouse et jupe de brousse comme jen ai vu dans Daktari.
- Pris, oui, je regardais, mais en tout bien tout honneur.
Depuis que je suis à Papeete, je viens tous les samedis boire une bière sous la tonnelle sur la plage en admirant le panorama.
- Et il vous a fait laveu quil est lamant de la femme de votre amiral.
- Vous étiez là, il est vrai que je lui ai demandé une preuve de ce quil maffirmait !
- Et cest pour cela que vous étiez en train de les mater !
- On pourrait croire que vous étiez là, lorsquil ma avoué baiser Carole et quil ma montré lendroit où je devais me mettre.
- Carole, vous aussi êtes intime avec elle ou espériez-vous vous la partager avec notre maître dhôtel.
Faire la conversation au milieu dune allée, cest bien, mais je dois rentrer à Papeete, ce soir, jai une soirée entre quelques amis.
- Vous avez raison, pouvez-vous méviter les quatre kilomètres à pied ou de me retrouver dans un car bondé ou les gens puent la sueur.
Christian !
- Lauriane!
Les présentations faites, nous remontons à lopposé de la plage où une petite Austin décapotable nous attend.
Jai mes jambes dans le tableau de bord, heureusement que le parcours était court.
- Vous étiez venu voir votre père.
- Vous en savez des choses, vous savez que je suis la fille de votre amiral en chef.
- Cétait simplement pour faire la conversation et passer le temps.
- Dites, que ma présence vous déplait.
Je vais vous répondre, demain, cest lanniversaire de mon frère et je lui ai amené son cadeau.
- Votre demi-frère !
- Je vois que vous savez tout sur nous, savez-vous à quel âge jai perdu mon pucelage !
Je lui dirais bien que ma queue si je lui mets là où ça lui ferait du bien je serais capable de trouver cet âge.
Mais ce que ma dit Alain sur ses relations avec de jeunes officiers, moi simple quartier-maître, même chef, me fait fermer ma grande bouche de parisien.
- Je suis arrivé, jhabite dans cette immeuble, au dernier étage avec vue sur la baie.
Veux-tu monter prendre un dernier verre ?
Pardon...
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